Appelez-la Rima Hamas !

Nous avons là une militante qui est au service d’une cause qui est totalement étrangère à la société française. Nous avions eu, par le passé, des parlementaires français qui défendaient, eux aussi, des sujets n’ayant aucun lien direct avec les Français, mais quoi qu’on puisse penser des uns et des autres, ils trouvaient le temps, ne serait-ce que par respect pour leurs électeurs, de défendre parfois ce que l’on pourrait appeler des « sujets du quotidien », le pouvoir d’achat, la retraite, l’école, l’enfance, le droit des femmes et j’en passe. 

Ce n’est même pas la « cause palestinienne » qui constitue son cheval de bataille, non, c’est l’appropriation – jusqu’à l’indigestion – de l’ensemble des narratifs des organisations terroristes palestiniennes, notamment le Jihad islamique et le Hamas.

Mais, avec Rima Hassan, qui aura gagné son sobriquet de Rima Hamas, depuis le début de son engagement politique et davantage au lendemain des attentats du 7 octobre 2023, ce n’est même pas la « cause palestinienne » qui constitue son cheval de bataille, non, c’est l’appropriation – jusqu’à l’indigestion – de l’ensemble des narratifs des organisations terroristes palestiniennes, notamment le Jihad islamique et le Hamas. Au mot près, tous les éléments de langage qui sont les siens sont ceux de ces entités criminelles, auxquelles il faut rajouter le Hezbollah. 

C’est un fait inédit. Probablement depuis l’époque de la Collaboration, la France n’avait eu à subir des Parlementaires, liés, non pas à une puissance étrangère, mais à une entité ennemie. 

L’eurodéputée de la France insoumise se sent, malgré tout, beaucoup plus proche de l’étranger terroriste, assassin de femmes et d’enfants, que de ses compatriotes français.

Oui, parce que le Hamas et le Jihad islamique sont, certes, des ennemis d’Israël mais aussi des ennemis de la communauté internationale et des ennemis de la France. Depuis le 7 octobre 2023, ce sont des groupes terroristes qui ont assassiné des citoyens français, une cinquantaine. Le dernier d’entre eux, Ohad Yahalomi, était le dernier otage franco-israélien retenu à Gaza. Sa mort a été confirmée, ce jeudi 27 février, après le retour de sa dépouille. Mais, voilà, l’eurodéputée de la France insoumise se sent, malgré tout, beaucoup plus proche de l’étranger terroriste, assassin de femmes et d’enfants, que de ses compatriotes français. Parce que ces derniers ont le malheur d’être aussi Israéliens, d’être aussi juifs. 

Mais pour pousser l’indécence à son paroxysme, l’outrance ne suffisant plus à cette enfant gâtée de LFI, elle décide de passer à l’étape supérieure : faire dans l’apologie du terrorisme et considérer que le 7- Octobre serait un acte légitime tout en se substituant aux États européens qui estiment, depuis plusieurs années, et à juste titre, que le Jihad islamique et le Hamas sont des organisations terroristes, pour affirmer d’autorité et avec le culot qui la caractérise que ces entités criminelles ne seraient pas terroristes. 

À un moment donné, seule une décision de justice pourrait permettre de remettre la République et ses principes au centre du village. Des poursuites contre cette militante, alliée du terrorisme islamiste et des dictatures, deviennent urgentes. 

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