La barbarie islamiste à l’oeuvre

Le 7 octobre, il y a exactement un an, Israël était frappé par une attaque terroriste du Hamas. Des Israéliens juifs mais aussi musulmans ont été victimes de cette barbarie islamiste. Le 7 octobre, nous avons changé d’époque.

Le Hamas a un projet génocidaire. Il ne cache rien de ses crimes et les exhibe comme des trophées. Les terroristes du Hamas n’étaient pas les seuls à avoir participé à l’horrible massacre du 7 octobre contre les Israéliens. Des civils palestiniens ont franchi la frontière en compagnie des terroristes. Ils ont violé des femmes israéliennes et tué des enfants. Après des décennies de propagande islamiste, cela ne peut que donner ce résultat. Là où il y a l’islamisme, il y a la haine des juifs. Là où il y a l’islamisme, il y a la terreur.

Le massacre du 7 octobre perpétré par le Hamas aurait dû susciter la réprobation mondiale. Au lendemain du 7 octobre, beaucoup ont pensé que cette fois-ci le monde occidental se lèverait contre les islamistes. C’est le contraire qui s’est produit : une vague antisémite, anijuive inédite depuis la Seconde Guerre mondiale a déferlé sur l’Europe et sur la France, les juifs ont été insultés, menacés, agressés.

Une alliance anti-Israël contre nature s’est constituée incluant les islamistes, la gauche radicale et même des groupes LGBT. Et dans ce genre d’alliance, on s’allie nécessairement aux thèses des islamistes, pour lesquels “la cause palestinienne” sert de prétexte, leur objectif principal étant la destruction d’Israël et le massacre d’un maximum de Juifs. Il suffit d’examiner la charte du Hamas ou les principes fondateurs du Hezbollah pour le constater. En réalité, le Hamas n’accorde aucune importance à l’existence de deux États, un Etat palestinien en paix avec son voisin israélien; son objectif est la destruction d’Israël.

Une victoire -même symbolique- du Hamas n’ est pas une victoire des Palestiniens mais celle des mollahs Iraniens, celle du Hezbollah, celle des Frères musulmans, celle du djihadisme.

En France, ceux qui alimentent la haine envers Israël dans le but d’attirer les électeurs des quartiers populaires à forte population musulmane savent-ils ce que leur stratégie coûte aux familles juives, notamment celles qui habitent dans ces quartiers-là, contraintes de changer d’école leurs enfants, voire de déménager ?

Aujourd’hui, une année après l’attaque des terroristes du Hamas qui ont tué des centaines de personnes et enlevé des dizaines d’autres dont certaines sont toujours otages à Gaza, malgré la déroute militaire de l’organisation islamiste, la menace qu’elle représente n’est pas encore définitivement écartée et tant que cela n’est pas une réalité il n’y aura pas de paix au Proche-Orient, car le Hamas ne peut pas faire partie de la solution et toute expression de solidarité avec le peuple palestinien sans se démarquer du Hamas est, le moins que l’on puisse dire, suspecte.