Manuel Bompard nie l’existence de l’islamisme

"Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde", disait Albert Camus. Aujourd'hui, il y a bien un consensus entre les démocrates et les républicains pour reconnaître que l'islamisme est un mouvement totalitaire dangereux à combattre. Pour d'autres, les voix des islamistes et alliés pour les élections sont prépondérantes. Pour justifier cette posture politicienne, le coordinateur de La France Insoumise excelle dans la langue de bois qui consiste à vouloir séparer l'islamisme du djihadisme. Pourtant, la logique ici est implacable : s'il n'y a pas d'islamisme, il ne peut pas y avoir de terrorisme islamiste.

La suite de cet article est réservée aux abonnés.

Je m'abonneConnexion

La rédaction vous conseille

• Dix ans après l’attentat contre Charlie Hebdo : “Je suis, et je resterai toujours Charlie”
• De l’anti-islamisme au soutien du Hamas
• « Le 7-Octobre a été un révélateur de salauds »
• «Le voile est utilisé pour dire « on n’est pas comme vous », comme un signe d’apartheid»