La famille Bibas visage de la barbarie du Hamas

Israël et la communauté internationale sont bouleversés par la nouvelle du sort tragique de la famille Bibas, qui a été annoncée après 500 jours d’attente, entre espoir et angoisse. Les médias du monde entier couvrent ce drame devenu le symbole de la tragédie du 7-Octobre.

Ce mardi, Israël et le Hamas ont annoncé la libération de six d’entre eux samedi prochain après la restitution, deux jours plus tôt, des corps de quatre captifs. Parmi ceux-là, figureraient, selon l’organisation terroriste islamiste, trois membres de la famille Bibas : les enfants, Ariel et Kfir, âgés respectivement de 4 ans et 9 mois au moment de leur enlèvement, et leur mère, Shiri âgée de 34 ans. Le père, Yarden, lui aussi capturé le 7 octobre 2023 au kibboutz Nir Oz par le mouvement islamiste, a été libéré le 1er février dernier.

La famille Bibas restera à jamais le symbole de l'horreur des islamistes du #Hamas. C'est aussi ça, l'#islamisme. Les #islamistes sont les ennemis de l'humanité, c'est indéniable. pic.twitter.com/KEnZe8pYY8

— Karim Maloum (@MalojmK) February 18, 2025

Les images, filmées et diffusées par les commandos du Hamas lors de l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien en Israël, de l’enlèvement de Shiri Bibas et de ses fils Ariel et Kfir, devant leur maison à la lisière de la bande de Gaza, ont fait le tour du monde.

Emmanuel Macron a réagi sur le réseau X, hier, mardi 18 février, en déclarant : « La France, mobilisée pour la libération de tous les otages, se tient aux côtés de Yarden et de la famille Bibas. »

Shiri.
Kfir.
Ariel.

Visages de l’innocence et de l’amour.

Visages d’une humanité éternelle que la barbarie du Hamas, jamais, n’abolira.

La France, mobilisée pour la libération de tous les otages, se tient aux côtés de Yarden et de la famille Bibas. En fraternité universelle. pic.twitter.com/3UOxwFcg3v

— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 18, 2025

Benyamin Netanyahou a menacé d’ouvrir « les portes de l’enfer » dans la bande de Gaza si tous les otages n’étaient pas libérés.

Après avoir échangé dimanche à Jérusalem avec le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, Benyamin Netanyahou a menacé d’ouvrir « les portes de l’enfer » dans la bande de Gaza si tous les otages n’étaient pas libérés, reprenant une expression du président américain Donald Trump. L’armée israélienne affirme que 70 personnes sont toujours retenues à Gaza, après plus de 500 jours de captivité, et qu’au moins 35 sont mortes.

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