Une décision qui interroge

Cette décision intervient, à deux jours près, une année après les massacres du 7 octobre, une décision qui n’est pas pour déplaire aux terroristes islamistes du Proche-Orient, aux islamistes du monde entier, aux ennemis d’Israël de manière générale et aux antisémites de tous bords. La déclaration d’Emmanuel Macron intervient aussi dans une période de l’histoire de la France où sa diplomatie est inaudible au Proche-Orient où elle était longtemps très présente, avec une influence certaine.

Concernant les ventes d’armes, il est utile de rappeler que la France fournit en armement des diactatures et qu’à la troisième place de ses clients figure le Qatar connu pour soutenir, financer des mouvements islamistes des plus radicaux voire des groupes terroristes.