Le journal Le Monde associe les musulmans à la « radicalité »

Les musulmans, dans leur majorité, ne se reconnaissent pas dans l’islamisme. Ils rejettent les pratiques extrémistes. Le journal Le Monde, dans son édition du samedi 19 avril, avec un article intitulé « Les catéchumènes, une jeunesse catholiques en quête de radicalité », parle de « mimétisme avec l’islam » et de « quête de radicalité ».

Pour le journal Le Monde, les musulmans sont nécessairement radicaux. Les musulmans qui célèbrent la vie, qui sont modernes, laïques, républicains, Le Monde a décidé de les effacer. « Les radicaux » parmi les musulmans ont un nom : les islamistes. Étrangement, Le Monde va dans le sens des islamistes, lesquels estiment que pour être véritablement musulman on doit suivre leur doctrine.

Aujourd’hui en France, il existe des dogmes religieux, ceux des islamistes, qui célèbrent la mort. Bien lire « les islamistes », car les musulmans célèbrent également la vie et la joie de vivre avec des événements religieux, notamment les fêtes de l’Aïd, « aïd » signifiant littéralement « fête ». Prions pour qu’un jour les musulmans qui célèbrent la vie l’emportent sur les partisans de la mort. 

En fêtant Pâques, les chrétiens célèbrent la vie, la renaissance. Aujourd’hui en France, il existe des dogmes religieux, ceux des islamistes, qui célèbrent la mort. Bien lire « les islamistes », car les musulmans célèbrent également la vie et la joie de vivre avec des événements religieux, notamment les fêtes de l’Aïd, « aïd » signifiant littéralement « fête ». Prions pour qu’un jour les musulmans qui célèbrent la vie l’emportent sur les partisans de la mort. 

Concernant la hausse du nombre de catéchumènes en France (10 384 adultes et 7400 adolescents nommés en 2025), quelle en est la raison ? Peut-on parler d’un sursaut religieux ? Même si l’Église catholique est comblée par ce « cadeau du ciel », elle fait preuve de prudence. « La croissance du nombre de catéchumènes jeunes ou adultes ne compense pas la diminution des baptêmes des nourrissons », nuance ainsi, l’évêque de Nanterre, Matthieu Rougé, cité par Le Figaro.