L'allié iranien au Liban est très affaibli

Le chef du Hezbollah exclut de « capituler » sous « la menace » d’Israël

Le chef du Hezbollah, l'allié iranien au Liban, a affirmé, ce dimanche, que sa formation, sortie très affaiblie d’une guerre avec Israël, n’allait pas « capituler » ou rendre les armes, alors qu’elle est sous forte pression pour désarmer. Le Hezbollah traverse, depuis le cessez-le-feu, acté avec Israël en décembre 2024, une crise multidimensionnelle.

Par Karim Maloum

Publié le 6 juillet 2025

« La menace ne nous fera pas capituler », a déclaré Naïm Qassem.

«La menace ne nous fera pas capituler (..) qu'on ne nous dise pas aujourd'hui assouplissez vos positions (..) rendez vos armes», a déclaré Naïm Qassem dans un discours télévisé retransmis devant des milliers de ses partisans rassemblés dans la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah, à l'occasion de la commémoration religieuse chiite de l'Achoura.

Le chef du Hezbollah pro-iranien au Liban a affirmé dimanche que sa formation, sortie très affaiblie d'une guerre avec Israël, n'allait pas «capituler» ou rendre ses armes, alors qu'elle est sous forte pression pour désarmer.

Naïm Qassem a affirmé qu’Israël devait d’abord appliquer l’accord de cessez-le-feu avec le Liban, « se retirer des territoires occupés, arrêter son agression (...), libérer les prisonniers » libanais et que la reconstruction des zones dévastées par la guerre qui a pris fin en novembre devait être entamée.

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